La décentralisation 5. L’action sanitaire et sociale (2° partie) Les difficultés d’adaptation. Analyse de la loi du 22 juillet 1983
Cote : GONT
La décentralisation de l’action sanitaire et sociale est organisée par la loi du 22 juillet 1983 et mise en œuvre depuis le 1er janvier 1984. Les compétences transférées ont été longuement analysées dans le tome 4 de cette série. Cette transformation interpelle tous les acteurs de terrain. Ce volume essaie de mesurer les premières conséquences de la décentralisation dans ce secteur. Les municipalités et leur centres communaux d’action sociale (Bureaux d’aide sociale) s’interrogent sur leur place par rapport au conseil général, devenu le responsable principal ; les associations gestionnaires suivent avec attention l’évolution du système conventionnel qui les lie aux pouvoirs publics; les différentes structures sont à réexaminer, voire à réinventer, en fonction de la nouvelle répartition des responsabilités ; les travailleurs sociaux se sentent remis en question. Ce volume analyse également les nouvelles conditions financières et s’interroge sur la maîtrise, aujourd’hui, des budgets sociaux par les élus. Georges Gontcharoff, militant associatif, est rédacteur en chef de la revue « Correspondance municipale », publiée par l’ADELS. Il a été, pendant deux ans (1981-1983), chargé d’une mission, au ministère de la Solidarité nationale, précisément sur le problème de la décentralisation de ce secteur.
GONTCHAROFF Georges
1985
19 x 11,8 cm, 267 p.
Syros, Adels