Militantes et militants anticolonialistes dans l’Algérie indépendante
Samedi 8 avril 2023 de 14 à 18h
Au Maltais rouge – 40 rue de Malte 75011
Juillet 1962, l’Algérie est enfin indépendante. Le pays est vidé de la plupart de ses cadres. Les sabotages de l’OAS, les camps de regroupement qui ont dépeuplé les campagnes, les villes prises d’assaut ont créé une situation difficile que les tensions au sein du FLN et du nouveau pouvoir ne font que complexifier.
Le coup d’État du 19 juin 1965 ne fera qu’accentuer l’autoritarisme et les tendances bureaucratiques. Mais il y avait l’élan de la Révolution non encore éteint, et l’autogestion plus ou moins anarchique.
Des militants anticolonialistes ayant soutenu la lutte du peuple algérien, certains du PSU, décident d’aider l’Algérie nouvelle en mettant leur compétence et leur énergie à sa disposition. Ils diront les expériences et les enseignements qu’ils en ont tirés.
Avec
Paul ORIOL,
médecin, 1963-1972
Daniel DAYOT,
instituteur, 1964-1966
Jean THÉNAISY,
instituteur, 1964-1966
Jean-Yves LE GOFF,
géographe-cartographe, 1963-1965
Jacques LAMBOUR,
ajusteur, 1963 ; enseignant 1966-1971
Alain GRIVEL,
médecin, 1962-1966, témoignage enregistré