Lettre d'information de l'Institut Tribune Socialiste

Lettre d'information N°35, 7 avril 2021

LA COMMUNE

Avril est le mois central de l’activité de la Commune de Paris, née en mars et écrasée en mai 1971 ; à l’occasion de ce cent cinquantième anniversaire, de nombreuses initiatives ont  été prises et sont accessibles par les sites annoncés dans la précédente lettre de l’ITS ; mais ce mois-ci, nous retenons particulièrement l’une d’entre elles, facilement accessible en ces temps de confinement qui ne dit pas son nom, celle de l’association des Amis et amies de la Commune de Paris, qui a  souhaité marquer cet évènement en proposant gratuitement le téléchargement d’un applicatif Smartphone Androïd. Cet applicatif invite à une promenade communarde au cimetière du Père Lachaise.

Jean-Roger Caussimon :
"La Commune est en lutte"

Pour faire revivre la Commune par la chanson, rien de tel que Jean-Roger Caussimon !  

Le cimetière du Père Lachaise est l’un des lieux les plus emblématiques de l’histoire de la Commune de Paris et des derniers combats de la Semaine Sanglante.
 Ce guide vous aiguillera dans la découverte des tombes de communards qui y reposent. La carte embarquée vous permettra de retrouver leurs emplacements. Pour ceux qui veulent en savoir plus sur l’histoire de la Commune, un bref aperçu historique est également proposé. Tous les textes sont aussi présentés sous format audio.

Liens pour télécharger l’application :
L'adresse de l'appli sur Google Play : Parcours communard: Les communards au Père Lachaise
 via le site web de l'association des Amies et amis de la Commune de Paris

ÉVÉNEMENTS DE MARS

60ème anniversaire du congrès de Clichy

La réunion-débat en webinaire  a eu lieu le Jeudi 25 mars

Les vidéos de la soirée

Réunion animée par Gilles MORIN, historien, chercheur associé au CHS-MC de Paris-I

Avec

Sylvie GUILLAUME, professeure honoraire des universités : « La guerre d'Algérie et la nature du régime gaulliste au cœur des débats du PSU, an 1 » 
Jean-Louis RIZZO, agrégé d’histoire : «Le courant mendésiste au 1er Congrès du PSU» 
Bernard RAVENEL, agrégé d’histoire, auteur de « Quand la gauche se réinventait. Le PSU, histoire d’un parti visionnaire,1960-1989 » : « Le Front socialiste, un concept polysémique »

Interventions suivies d’une table-ronde avec la participation

d’Octave PERNOT, auteur de « Derrière l’affiche : être militant du PSU » (prix 2020 de la Fondation Jean Jaurès)

et de trois congressistes de Clichy :

Georges GONTCHAROFF, fédération de Seine-banlieue, 
Jean-Louis PENINOU, représentant de Lyon au Comité national de coordination étudiant en 1961, membre du secrétariat national étudiant du PSU en 1962,
Yves TAVERNIER, secrétaire national étudiant en 1961/1962 et élu au CPN (1961/63) ; ancien maire de Dourdan et député de l’Essonne,  

Conclusion par

Georges GONTCHAROFF, membre du Bureau National du PSU (1966-71) : "le congrès de Clichy, soixante ans après". 

Introduction par
Gilles MORIN

Sylvie GUILLAUME

Jean-Louis RIZZO

Bernard RAVENEL

TOUR de TABLE

Georges GONTCHAROFF

Vous trouverez ci-dessous le texte  de Jean-Marie Domenach
que cite Georges Gontcharoff à la fin de sa conclusion

Lire le texte

ÉVENEMENT D'AVRIL

Cycle de séminaires organisés par six Fondations

Les violences policières

La réunion-débat en webinaire aura lieu
le Mercredi 14 avril à 18h

Pour recevoir le  lien de connexion, s’inscrire à l’adresse suivante : INSCRIPTION

Ces dernières années, la fréquence et la gravité des violences policières sont en augmentation. Touchant depuis longtemps les populations pauvres et racialisées des quartiers populaires, cette violence d’État est de plus en plus utilisée dans les mobilisations sociales (loi travail, gilets jaunes, marches pour le climat, loi sécurité globale, etc.) au point de mettre à mal le droit fondamental de manifester. Quelles sont les évolutions de l’arsenal répressif, des doctrines du maintien de l’ordre et de l’encadrement de l’usage de la force ces dernières décennies ? Quels sont les héritages historiques de ces politiques et pratiques répressives ? Quels liens entre l’explosion de ces violences et l’orientation générale des politiques sociales et économiques mises en œuvre ? Quels traitements et réparations des victimes de violences policières ? Comment résister à ces violences et les combattre ? Quelles transformations structurelles sont envisageables ?

Analyses croisées pour comprendre les racines du phénomène, les logiques de ces violences, les évolutions juridiques en cours et avancer des propositions politiques pour transformer en profondeur l’institution policière.

Avec

Arié Alimi, avocat de victimes de violences policières, membre de la Ligue des droits de l'Homme, auteur de Le coup d'état d'urgence - Surveillance, répression et libertés (Seuil, 2021)

Ludivine Bantigny, maîtresse de conférences en histoire contemporaine à l'université de Rouen, spécialiste des mouvements sociaux et des engagements politiques, co-initiatrice d’un appel à la création d’une assemblée de riposte contre les violences d’État

Amal Bentounsi, fondatrice du collectif des familles des victimes tuées par la police, co-autrice avec Antonin Bernanos, Julien Coupat, David Dufresne et Frédéric Lordon de Police (éd. La Fabrique, 2020)

Fabien Jobard, directeur de recherche au CNRS, membre du Centre de recherches sociologiques sur le droit et les institutions pénales (CESDIP), co-auteur avec Olivier Fillieule de Politiques du désordre. La police des manifestations en France (Seuil, 2020).

ACTUALITÉ - DÉBATS

"La Lettre de la Citoyenneté" s'efforce de publier tout ce qui se dit ou se fait sur les questions de nationalité, citoyenneté, droits politiques des résidents étrangers.

Lire la lettre N°165

ÇA BOUGE SUR LE LARZAC !

Dans le cadre du cinquantenaire du début de la lutte du Larzac et des 40 ans de la victoire après l’élection de François Mitterrand, l’Apal vous invite à fêter ces 2 anniversaires.

La lutte du Larzac contre l’extension du camp militaire a commencé en 1971 et s’est terminée en Mai 1981 avec la décision de Francois Mitterrand d’abandonner ce projet. Cette longue lutte fut riche en inventivité, en capacité de mobilisations sociales, d’intelligence collective, de mobilisation de l’opinion publique et des médias, de création de structures qui perdurent.Aujourd'hui, le Larzac est devenu non seulement un territoire agricole dynamique et diversifié, mais aussi un lieu d'activités économiques nouvelles, de structures culturelles éclatées, de lieux d'accueil, bref de créativité dans tous les domaines.

Afin de marquer l'année 2021, l'APAL lance un appel pour organiser sur le plateau des événements : manifestations, spectacles, rencontres, conférences, portes ouvertes.... L'APAL se propose de coordonner l'ensemble des actions marquées du logo Larzac 1971-1981-2021.
Par ailleurs, à Millau, des expositions, tables-rondes et rencontres, retraceront l'engagement de la ville auprès des paysans pendant les 10 ans de la lutte.
Toutes ces manifestations seront présentées dans l'agenda LARZAC 1971-1981-2021 qui sera publié par la ville de Millau dès le mois de mai.

Si vous souhaitez créer une action (petite ou grande) en lien avec l’histoire particulière de la lutte du Larzac et obtenir le label, merci d’adresser une fiche de présentation à l’APAL, Saint Martin du Larzac 12100 Millau ou par mail avant le 30 avril 2021. Contact par courier électronique

NOUVELLES PARUTIONS

Parution prochaine
dans la collection de l'ITS

Dossiers et Documents

du livre

"Des droits des femmes
au féminisme"
La participation du Parti Socialiste Unifié à la lutte des femmes pour leur émancipation (1960-1990)

de Jean-Claude GILLET

avec la collaboration de
Josette Boisgibault 

SOUSCRIPTION

Monique Gresset interroge
des protagonistes des luttes féministes au sein du PSU sur leur engagement

Josette Boisgibault

Michèle Descolonges

Suzanne Goueffic

"La Terre, l'Etoile, le Couteau"
de Christian Phélibe
aux éditions du Croquant et, à Alger, chez Chihab.

Il s'agit d'une enquête approfondie sur une seule journée : le 2 août 1936 à Alger. Une date absente de l'histoire officielle. Une date dont on a failli oublier le caractère fondateur pour tout le destin ultérieur de l'Algérie.

Car, bien avant le 1er Novembre 1954, la rencontre inattendue de trois événements en aura fait une journée décisive.

Le 2 août 1936, c'était un beau dimanche de l'été algérois et la ville sortait à peine du mois et demi de grèves qui avait fait suite à la victoire électorale du Front populaire. Débarqué à l'aube, Messali Hadj, qui déjà militait pour l'indépendance des trois pays du Maghreb, impose par surprise sa présence au meeting. il proclame : « Cette terre n'est pas à vendre ! ». Au même moment, dans la Basse Casbah, le grand muphti d'Alger est poignardé en pleine rue.

Le meeting. Le discours. Le meurtre, trois coups d'éclat qui se succèdent en une même heure...

A partir de nombreuses archives ou témoignages inédits, j'ai voulu restituer le déroulement, d'une extrémité à l'autre de la ville, de cette matinée si particulière.

Je montre les forces sociales qui s'y mettent en mouvement Je décrit comment l'apprentissage des formes modernes de l'action collective et du combat démocratique y transcendent toute une symbolique de l'islam traditionnel. J'analyse ce qui s'en suit pour les divers courants politiques algériens, et pour tout l'essor du combat de libération nationale.

Le 2 Août 1936, croisée des chemins où fut ouverte la perspective de l'indépendance, portait déjà en lui les grands défis auxquels l'Algérie actuelle reste confrontée.

NOTES DE LECTURE

"Les étudiants socialistes, l'UNEF, la SFIO"
et la guerre d'Algérie - 1952-1958
de Jacques Delpy

Avec cet ouvrage, notre ami et camarade Jacques DELPY nous offre une plongée dans les années cinquante, et le rôle méconnu qu’y ont joué les étudiants socialistes dans la genèse de l’opposition à la guerre d’Algérie et la transformation de l’UNEF.

Durant cette période, la fédération nationale des étudiants socialistes (FNES) s’émancipe progressivement des orientations de la SFIO ; d’ailleurs les membres de la FNES peuvent ne pas être membres de la SFIO, et constituent une organisation de jeunesse autonome comme le sont beaucoup d’organisations étudiantes à cette époque. Lors de la « reprise en mains » par la SFIO en 1958, cette distinction sera abolie. 

C’est en effet en 1957/58, en réaction à la politique menée par Guy Mollet en Algérie que se cristallise l’affrontement entre les ES et la direction de la SFIO. Celle-ci prend d’abord des mesures disciplinaires internes, puis organise la « normalisation » de la FNES le 4 avril 1958 à Montluçon grâce au noyautage par les JS de Mauroy d’une conférence nationale des étudiants socialistes. 

Les ES oppositionnels quittèrent alors la salle en guise de protestation, puis en furent réduits à s’organiser séparément et à « suivre Edouard Depreux » en octobre 1958, constituant alors la « Fédération nationale des étudiants socialistes autonomes ».
C’est ainsi que beaucoup -  mais pas tous – de ces étudiants socialistes des années 50 se retrouvèrent ensuite au PSU, en compagnie d’étudiants chrétiens ou d’origines diverses avec lesquels ils avaient milité dans les années 50 pour constituer la « mino syndicale UNEF », celle qui, s’emparant du bureau national de l’UNEF en 1956, entraina progressivement l’organisation de masse étudiante dans l’opposition à la guerre d’Algérie. 
Ce sont ces pages d’histoire, beaucoup moins connues que celles relatives à la branche « chrétienne » de l’UNEF, qui sont mises à l’honneur par l’ouvrage de Jacques Delpy, y compris en faisant appel aux témoignages de certains d’entre eux. Elles méritaient de l’être, et l’auteur atteint son but en sortant les ES de cette période de l’oubli - relatif, mais réel - dans lequel ils avaient été relégués.
On peut certes regretter l’absence d’une iconographie d’époque qui aurait permis d’illustrer ce texte si passionnant et instructif, mais, ainsi que le souhaite Jacques Delpy dans son message de transmission de l’ouvrage à l’Institut Edouard Depreux : « ce travail devrait ouvrir des voies à des recherches nouvelles ». 

Merci donc à Jacques d’avoir ouvert la voie ! 

Roger Barralis – 5 avril 2021 -  

« Les Etudiants socialistes, l’UNEF, la SFIO, et la Guerre d’Algérie 1952/1958 »
108 pages – Ouvrage à compte d’auteur édité en janvier 2021 –
Contact avec l’auteur : delpyj@wanadoo.fr 

DISPARITIONS

Paulette GUINCHARD - (1949 - 2021)

Fille d'agriculteurs du Doubs, née le 3 octobre 1949, Paulette Guinchard, a adhéré au PSU à 20 ans en 1969 ; elle milite aussi à la CFDT et participe aux manifestations pour soutenir les ouvriers de Lip.

Infirmière psychiatrique puis responsable de formation en soins pour les personnes âgées, elle entre au conseil municipal de Besançon en 1983 puis au conseil régional de Franche-Comté en 1986, et rejoint ensuite le PS.

Députée (élue en 1997, réélue en 2002), elle est l’auteur de la loi créant l’APA - Allocation Personnalisée d’autonomie - qui permet d’aider financièrement les personnes âgées à rester à domicile ou en établissement, et elle est chargée de la mettre en oeuvre en tant que secrétaire d'Etat aux personnes âgées dans le gouvernement de Lionel Jospin en 2001/2002.

En 2007, elle avait abandonné l'action politique pour raisons de santé. Elle a décidé de sa mort, en pratiquant le suicide assisté en Suisse, le 4 mars 2021.

On trouvera ici un  résumé de sa vie en vidéo

Gisèle BERGÈS - (1948 - 2021)

Gisèle Bergès qui vient de nous quitter, a été membre de la section PSU de Carros (section EVEL - Entre Var et Loup) dans les Alpes-Maritimes, dans les années 70 à 80.

Comme son mari Jean-Claude, postier syndicaliste, elle était militante active, passionnée, chaleureuse et intransigeante pour la cause des femmes, pour l’autogestion des luttes et des quartiers défavorisés, de l’écologie.

Gisèle défendait les droits du peuple basque et a participé à bien des rencontres notamment avec les corses.

Après la mort de son mari Jean-Claude, Gisèle participait encore régulièrement aux manifestations que ce soit sur Bordeaux ou au pays catalan ou en Espagne et échangeait régulièrement à travers Facebook.

(transmis par Anne-Marie Dubois)

Gérard JAMME - (1942 - 2021)
Militant du PSU ; membre de sa Direction Politique (1986/89) – Syndicaliste CFDT

Notre camarade Gérard JAMME est décédé à 79 ans le dimanche 21 mars 2021, des suites d'un AVC qui l'avait terrassé le vendredi 12 mars. 

Il avait d’abord connu un groupe dissident du PCF, Unir-Débat, puis avait milité au PSU, auquel il est resté fidèle jusqu’à sa disparition en 1990. Il avait fait partie de la Direction Politique Fédérale et du Bureau Fédéral de la Fédération du Val d'Oise et était en fonction au moment de l'auto-dissolution du Parti. Il avait été élu à la Direction Politique du P.S.U. au Congrès de Bourg-en-Bresse (16ème Congrès, du 12 au 14 décembre 1986) et réélu à celui d’Angers (17ème congrès, du 16 au 18 décembre 1988). Il avait aussi fait partie du « service de protection » (« SO ») du PSU. Il a ensuite été membre des ATS, dont il gérait le blog, et des Alternatifs.  

Syndicaliste C.F.D.T. dans la Fédération de la Métallurgie, il en avait longtemps animé l’Union Locale d'Argenteuil.

Ses obsèques ont eu lieu le 25 mars au cimetière du Chemin Vert à Argenteuil ; aux côtés de la famille, étaient présents 5 militant-e-s : Viviane Cartairade, Alain Cornet et Jean-François Pellissier pour les ATS, Alima Boumediene pour « Ensemble ! » et Dominique Mariette de Lutte Ouvrière. Une gerbe composée de fleurs rouges portait un ruban sur lequel était simplement inscrit "Tes camarades des ATS".

En accord avec Françoise, son épouse, et ses enfants (Christine, Isabelle et Gilles), Viviane Cartairade est intervenue pr ces mots : 

Bonjour… même si ce n’est pas un bon jour que celui où nous disons un dernier adieu à Gérard. Au nom des anciens du PSU, organisation d’où sont issus les Amis de Tribune socialiste, nous voulons témoigner des mots qui sont le plus revenus dans les messages de tristesse que nous avons reçus à l’annonce de sa disparition : « solide », « fidèle ».

Et tous les souvenirs sont remontés. Ils racontaient évidemment les luttes que nous avons menées, l’organisation des Fête du PSU et son engagement pour assurer la sécurité des camarades lors de manifestations politiques moins ludiques, plus offensives. Ils disaient aussi est surtout les moments partagés entre copains, en particulier une mémorable escapade à Sainte-Croix-Vallée-Française pour un projet de chambres d’hôte. Tous associaient Françoise et ses enfants, Gilles, Isabelle et Christine à son souvenir.
C’est le témoignage autant amical que militant que nous avons eu à cœur d'apporter car pour nous Gérard était plus qu’un camarade de luttes, c’était un bon camarade.

A l'issue de l'inhumation, il a été convenu d'un rendez-vous pour récupérer les archives de Gérard dont Françoise et ses enfants souhaitent faire don à l'ITS.

CENTRE JACQUES SAUVAGEOT

Actualité du CJS
Par Meixin Tambay, archiviste de l’ITS

Au mois de mars 2021, le Centre Jacques Sauvageot a  

  • accueilli un nouveau don d’archives papier de la part de Jean-Louis Euvrard (une collection complète de Lutte socialiste)
  • reçu le 4ème et dernier carton d’archives envoyé par Pierre GRAU
  • a réalisé un travail d’inventaire des archives de la GOP conservées à la Contemporaine grâce à Jean-Michel Kay
  • fourni de nouveaux contacts à M. Thomas Marxuach (“le PSU et Cuba”)
  • réuni de la documentation en vue de la tenue de la visio-conférence du 25 mars sur le 1er congrès du PSU à Clichy en 1961
  • exposé ses livres sur la Commune en vitrine du Maltais rouge    ………..

Le CJS a également répondu à des sollicitations

  • du MHV de Montreuil (identification de dirigeants du PSU sur des photos)
  • de Jacques Font sur des affiches Larzac pour une exposition à Millau.

………………..

Par ailleurs, le CJS a procédé au don gracieux de quelques cartons de livres pour enfants à la bibliothèque du Secours Populaire (localisation : rue sébastien froissart 

Ouverture du Centre de documentation

Dans le cadre des contraintes sanitaires
le Centre Jacques Sauvageot n'est ouvert que sur réservation

Demande préalable de RdV
à présenter la semaine précédente par courriel à :
 archives@institut-tribune-socialiste.fr

Rappel des précautions sanitaires,

  • Eau, savon et gel hydro-alcoolique sont  disponibles sur place ;
  • Les visiteurs devront désinfecter leur poste de travail après utilisation
  • Ils devront respecter les gestes-barrières et porter un masque
  • Pour la consultation de documents, prière si possible de se munir de gants
  • Prière également d’apporter votre propre stylo ou crayon papier par mesure d’hygiène

LE MALTAIS ROUGE

En raison des contraintes sanitaires et du couvre-feu
l'accès au Maltais rouge est strictement limité

Pour tous renseignements

lemaltaisrouge@gmail.com
ou
tel: 06 36 11 84 35

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Les reçus fiscaux correspondant aux dons reçus par l'ITS en 2020 ont été envoyés; signalez-vous si vous ne l'avez pas reçu.

Lettre d'information réalisée par Roger BARRALIS et Patrice DELABRE

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